Archives de Mai, 2006

Voyager à travers le monde

Publié: 31 Mai 2006 dans Voyages
         Un jour j’ai rêvé de faire un voyage pour visiter les pays qui ont laissé leurs nom sur la carte géographique mondiale.
 
Découvrir la belle et grande Egypte où ont regné les pharaons, pour ses pyramides mystérieuses et admirer ses gigantesque spynx tout en déchifrant les hiéroglyphes gravés sur les murs anciens. Aller en Italie afin de traversé les différentes ruelles sur une gondole, direction la place Saint-Marc. Se trouver au milieu des deux Allemagne, avec des souvenirs de courage en face d’un long mur à Berlin qui a traîné tellement d’histoire derrière lui. Rejoindre le sud du desert Marocain, passer un moment agréable en faisant connaissance avec les hommes bleus du Sahara occidentale.
(J’aimerai aussi) partir aux Etats-Unis, marcher à travers les plaines et les forêt là où ont vécu les peaus rouge indiennes. Ainsi un peu plus au nord, au Canada on y verra les chutes du Niagara. Ensuite nous ferons une escale dans l’archipel polynésie plus particulièrement explorer les îles Tahitiennes, puis se reposer sur un hamac entre deux cocotiers, tout en buvant un délicieux lait de coco sous la chaleur d’un soleil brûlant.
Et enfin pour terminer, séjourner au sein d’un chalet en pleine savane Australienne avec une vue sur les koala perché aux arbres et les kangourou sursautant presque toute la journée…
 
        En tout cas, voyager c’est découvrir les richesses et les coutumes de chaque race humaine, et savourer le goût de l’aventure.
 

© Jamil Zaïani

Terre-Lune

Publié: 31 Mai 2006 dans Paroles de sagesses

Terre-Lune, terre-lune

Ce soir, j’ai mis mes ailes d’or

Dans le ciel, comme un météor

Je pars.

 

Terre-Lune, terre-lune

J’ai quitté ma vielle planète

J’ai laissé les morts, et les guerres

Au revoir.

 

Dans le ciel piqué de planètes

Tout seul sur une lune vide

Je rirai du monde stupide

Et des hommes qui font les bêtes

 

Terre-Lune, terre-lune

Adieu ma vie, adieu mon coeur

Globe touts perclus de douleur

Bonsoir

 

© Boris Vian

Access denied

Publié: 31 Mai 2006 dans Actualités et politique
       For beggining, I want to say I am an invalid person so you must understand whatever I will tell. The discrimination had existed since the "medieval" time, because of the politicians who don’t want to hear the desabled peoples.
In fact, no underground stations are not accessible for them such as public transport or different buildings. One of the reasons : "legislation is confused and peacemeal".
I think for this trouble, the world should help himself and not to invent story about money. That proved for the democratie it’s a priority question.
 

© Jamil Zaïani

 
    

« Mr. Clutch »

Publié: 30 Mai 2006 dans Sport
Kareem Abdul-Jabbar  de son vrai Ferdinand Lewis Alcindor Jr, né le 16 avril 1947 à New York City, était le fils unique d’une mère trop protectrice et d’un père très strict, d’où son humble personnalité. Il devient très vite, le kid le plus grand du système scolaire d’Harlem. A 9 ans, il tente et manque son bras roulé (Sky-hook), tir très prisé par les pivots de nos jours cat quasiment incontrôlable. Le geste consiste à tirer au panier en amenant la balle d’une main au-dessus de la tete, bras tendu, et l’autre bras sert à se protéger du défenseur. Peu importe, il a ce geste dans la peau et l’excera des millions de fois par la suite. Quand il avait 13 ans, Lew Alcindor mesurait 2m02 et les scouts des lycées lui collaient déjà aux basques.
 
En 1962, c’est finalement la Power Memorial Academy qu’il choisit. Bien sûr, il mena son équipe à son record de 95 victoires et 6 défaites (dont une série de 71 matchs sans défaite) et remporta trois sélections All-American (All Star Game des lycéens). A sa sortie de lycée en 1965, il lui faut choisir une université. Le choix ne manque pas puisque plus de 200 offres lui sont parvenues. C’est finalement à Los Angeles qu’il décide d’aller faire ses études, lui le New-yorkais s’en est allé de l’autre côté des Etats-Unis. UCLA est coaché par John Wooden. Après une année blanche où il fut non éligible par les pontes de la NCAA, il se mit au travail et apporta en 3 ans autant de titre NCAA de 1967 à 1969 où le reconnaîtra qui suite à une blessure à l’oeuil durant sa carrière universitaire, Abdul-Jabbar s’était mis à porter des goggles, grosses lunettes protectrices ressemblant à un masque de plongé. Il fut à chaque fois élu Most Outstanding Player du Final Four. Il mena les Bruins à un record de 88 victoires, 2 défaites. Ses stats à UCLA sortent de nulle part, en voici un extrait : 26,4pts à 63,9% et 15,4rbds de moyenne. Sur 88 matchs 65 furent terminés avec plus de 20pts, 27 avec plus de 30pts et il scora en double figure 87 fois ! Bref, il affole les livres d’histoire de UCLA mais aussi de la NCAA.     
 
En 1969, il est drafté en 1ère position tant par les Bucks de Milwaukee (NBA) que les New-Jersey  Nets (ABA). Afin d’éviter une de guerre des négociations, L. ALCINDOR proposa que chacune des deux équipes face une offre. C’est Milwaukee la timbale et signe ALCINDOR pour plus de 1 millions de $. Pas le temps de s’acclimater il est  le patron in the middle. Il remporte le titre de Rookie de l’année avec des moyennes de mammouths : 28,8pts à 51,8%, 14,5rbds. Pour sa troisième saison en NBA, les Bucks s’offrent un beau cadeau : Oscar "Big O" ROBERTSON. Véritable joyaux (seuln joeur à avoir terminer avec un triple-double de moyenne), il débarque à 31 ans pour seconder ALCINDOR et les Bucks s’envolent sur les sommets de la NBA. Meilleur bilan de la ligue avec 66 victoires, les Bucks sortent champion avec un formidable 12-2 en playoffs et sweepe les Baltimor Bullets en en Finals. Lew remporte le premier de ses 6 titres de MVP. Pendant l’intersaison ALCINDOR devient Kareem Abdul-Jabbar en se convertissant à l’islam. Après avoir remporter les titres de MVP en 72 et 74, JABBAR exprime une certaine lassitude et demande à quitter les Bucks pour New-York ou Los Ahngeles. C’est de nouveau à Los Angeles que JABBAR va jouer. Pour sa première saison au sein des Lakers, il est élu MVP en 1976 puis en 1977 ! Mais c’est véritablement en 1979 que sa carrière va pouvoir redécoller. L’arriver de Pat Riley allait donner naissance au Show-Time, un style de jeu ultra-rapide, basé sur la contre-attaque. Ce jeu va enthousiasmer le microscope de la NBA pendant près d’une décennie. KAREEM ABDUL-JABBAR était un monstre physique. La trentaine bien entamée, il joue toujours avec la même intensité près de 35mn chaque soir. Son hygienne de vie basée sur une diététique irréprochable et sur le yoga et les arts martiaux lui confèrent un corp à toute épreuve. C’est aussi ça le mythe JABBAR, il était increvable. Le avril 1985, JABBAR devient le scoreur le plus prolifique de l’histoire de la NBA. En effet, sur une passe de Earvin "Magic" Johnson, il place son sky-hook et inscrit son 31’420ème points ! CHANBERLAIN est relégué à la seconde place. Kareem ABDUL-JABBAR est désormé une véritable institution. Sa plus grande marque, outre ses statistiques, estt son Sky-Hook. Arme ultime pour le pivot que personne n’a encore su utiliser de manière aussi rentable et efficace que lui.
 

© Jamil Zaïani