Archives de mars, 2006

« La guerre des étoiles »

Publié: 28 mars 2006 dans Divertissement

« Si le réalisateur de Star Wars, John Lucas m’avait donné l’honneur d’écrire un scénario pour l’introduire dans son film, elle aurait ressemblé à ça ! »

« Il me le faut! capturer! capturez-le! cet un espion!, il me le faut vivant! »
Luke Skywalker courrait plus vite que l’éclair afin d’échapper à ses poursuivants.
Sur son passage, il essayait d’ouvrir quelques portes pour libérer des prisonniers malgré ses mains sanglantes, il évitait même les coups de lasers tirés par ses ennemis.
A chaque mètre qui passait, il souffrait le martyre. C’était pénible pour lui de sauter au travers d’une large crevasse, il continuait à courir tout en ignorant ses douleurs aux jambes, il rampait dans les tuyaux de ventilation au point d’en avoir le souffle coupé.
« Ne te retourne pas! ne te décourage pas! Encore un effort » pensa t-il, « il faut que je continu malgré mes souffrances. Si seulement je pouvais être à l’intérieur de ma navette spatiale ».
Enfin il sortit de ces conduites aérations, et il ne lui reste plus que cinq mètres à parcourir pour rejoindre son vaisseau.

© Jamil Zaïani

L’esprit d’équipe…

Publié: 27 mars 2006 dans Paroles de sagesses
          "Le sport, s’il développe l’instinct de compétition, il alimente aussi le sentiment de solidarité."
 
Dans tout sport collectif comme le basket-ball, le volley-ball, le football,…; chaque joueur a une responsabilité envers son équipe. Un apprentissage est nécessaire selon une méthode fonctionnelle pour que les joueurs s’impliquent ensemble, coordonnent leurs actions, développent leur vision du jeu et des situations de façon à progrésser. Peu à peu avec l’expérience, ils se construiront un jeu d’attaque et de défense bien organisée. Ils inventent des combinaisons, utilisent des tactiques secrètes qui rendent certaines équipes célèbres et redoutables. Ensemble, lors de nombreux entraînement, ils travaillent leur capacité d’anticipation pour se préparer à la situation réelle du jeu. Cette dépendance constitue leur force et favorise l’esprit d’équipe, quelque soit la forme du ballon choisi.
 

© Jamil Zaïani

Un Texan star du basket en Iran

Publié: 27 mars 2006 dans Sport
TEHERAN (AFP) – 29/12/2005 – Ici ce n’est pas la NBA, avec son cortège de majorettes et de stars du panier de basket-ball, mais le texan Andre Pitts s’amuse et gagne bien sa vie comme joueur vedette de l’équipe iranienne Saba Batterry.
 
          A 36 ans, cet Afro-américain n’a même pas mis six mois pour conquérir le coeur des supporteurs du champion en titre, une équipe financée par une société fabriquant des piles électriques et appartenant au ministère de la Défence.
 
Malgré la rupture des liens diplomatiques entre Téhéran et Washington la République islamique a autorisé ses équipes à recruter chacune jusqu’a deux joueurs étrangers, afin d’améliorer le jeu des iraniens et leurs chances de réussite dans les championnats internationaux. "L’Amérique est au centre du basket-ball mondial, et le sport n’a rien à voir avec la politique", lance l’entraîneur de Saba Battery, Mehran Shahin-tab.
 
Sifflement et bras levées ponctuent le dribble rapide de Pitts entre quatre adversaires avant la passe à l’Américano-dominicain Garth Joseph 2,17 m, qui conclut par un panier. "La paire" assure en général la moitié des points de chaque match de Saba, en tête du championnat. "Le jeu est confortable, et tout va bien", résume Pitts. Il a joué dans des équipes liibanaises et syriennes pendant quelques années, mais il préfère l’Iran. Son seul manque: sa femme et sa fille de cinq ans. "A la maison, tout le monde s’inquiéte que je vive dans un pays "dangereux", mais je leur dis qu’il est magnifique et que s’ils ne le croient pas il n’ont qu’à venir le voir". Il a trouvé sa place ici parce qu’il n’a pas la sienne aux Etats-Unis, où son âge et sa relative petite taille 1,85, sont un handicap pour jouer en NBA;
 
Le décor de son existence est a priori hostile: "Mort à l’Amérique" est un graffiti courant sur les murs ; et Washington, qui a placé l’Iran sur son "axe du mal", accuse régulièrement Téhéran de chercher à se doter de la bombe atomique. Mais tout cela froid Pitts, qui après avoir visité le pays, regrette seulement tous ce "climat indécent".    
               Dix ans après l’adoption de la convention internationale des "Droits de l’Enfant" par l’assemblée générale des Nations-Unis, 250 millions d’enfants demeurent astreint au travail forcé. Même si chacun se souvient d’Iqbal Mashi, cet enfant pakistanai… 
 
          Iqbal Mashil n’était encore qu’un enfant lorsque ses parents l’on vendu pour éponger la dette familiale, contractée lors du mariage de son frère. A quatre ans, appartenant désormais à un fabriquant de tapis, il rejoint une de ces fabriques qui exploitent déjà 8 millions d’enfants honteusement exploités. Le mot est dramatiquement faible : volés, violés, humiliés,…
Pendant six ans, il travaile comme exclave, les chevilles blessées, couvertes de cicratrices à forces d’être enchaînés par de lourdes chaînes comme des bagnards. A dix ans, les mains déformées pour la finesse d’avoir noué des millions de précieux tapis revendus à prix d’or en Occident.
 
          Un jour de 1993, les noeuds de son calvaire se dénouent grâce aux mains de son libérateurs : Eshan Khan, président de la Ligue contre le travail des enfants pakistanais (BLLF). Lors d’une réunion qu’il organise dans le village d’Iqbal, Eshan découvre le jeune enfant blotti dans un coin de la salle, litéralement éffrayé. "Il était émacié et ressemblait à un vieille homme" dira Eshan, qui n’a qu’une seule envie pour lui redonner le goût de vivre et la rage de se battre : montrer à cet enfant-esclave le chemin de la liberté. Iqbal devient alors le symbole de cette jeunesse martyrisé.
 
         En janvier 1995 considérer comme le porte-parole de l’enfance exploitée, Iqbal participe à une Convention contre l’esclavage des enfants à Lahore. Orateur de talent, il parcourt le monde entier pour alerter l’opinion internationale sur les conditions inhumaines imposées aux enfants du Pakistan, de l’Inde, du Bengladesh et d’ailleurs. "Nous nous levons à 4 heures du matin et travaillons enchaînés durans 12 heures… n’achetez pas le sang des enfants !" 
 

© Jamil Zaïani

Plaisir d’amour.

Publié: 23 mars 2006 dans My sweetheart
Le plaisir en amour ne dure qu’un moment, le chagrin d’amour dur toute la vie. L’amitié peut parfois terminé en amour, love forever…
 
Ecoute ton coeur , lui seul te guidera vers le bonheur…
L’amour multiplie les joies , et divise les peines…
 

© Jamil Zaïani

C- comme Courage

Publié: 21 mars 2006 dans Paroles de sagesses
COURAGE :

Le vrai courage provient d’une grande force mentale et physique. Il est alors aussi naturel que la respiration. Ce courage est permanent, rien ne peut l’entamer.
Il est des courages occasionnels. Ils peuvent naître de circonstances extraordinaires. Certains boulversements (accidents, guerres, etc…) dévoilent de grandes actions courageuses. Il est alors difficile de dire immédiatement si l’acte est le résultat d’une émotion, d’un raidissement ou d’une véritable valeur.

D. Rodman à Rodzilla

Publié: 20 mars 2006 dans Sport
        "Il n’y a pas un joueur qui soit plus incompris que Dennis Rodman."
 
Dennis est né au Texas, dans une banlieue mal famée de Dallas. Sa mère l’élève seule avec ses soeurs aînées après que son père ait très vite foutu le camp. Il est petit monstre du village. Assez petit et encore plus maigre, ce qui lui vaut le surnom de verre de terre (The Worm)! Il ne fout rien à l’école et ramène des objets volés à la maison en même temps que ses bulletins fournis en "F" et finit par se faire virer de chez lui. Rien dans le crâne, il persiste et squat les rues, mais il trouve enfin un job comme balayeur à l’aéroport. Si Dennis va poser ses fesses sur le banc de la fac. Là, il colle les basques de ses soeurs basketteuses de génies, et lui qui n’a jamais touché une balle, les ridiculise !
Personne ne comprend mais Dennis ne s’interroge même pas, il claque la porte de la fac et rentre chez lui. Dès lors, les coach et même le directeur de l’université vont se battre et harceler Rodman pour le convaincre de jouer en NCAA…
"Je ne répondais pas au téléphone, j’accordais peu de crédit à ses conneries. Je n’aurais jamais rejoué si je n’étais pas ouvrir la porte ce jour là! Mes soeurs et ma mère étaient occupés. Alors j’ai ouvert, le directeur et deux coachs étaient la! Je n’allais pas leur claquer la porte au nez…?! "
 
Dennis joue, Dennis enflamme les parquets, Dennis a un sens inné pour le rebond. Il le sent, il sait où et quand sauter. Il sait même sauté trois fois de suite pour une balle quand vous n’effectuez qu’un saut ! Les entraîneurs ne tardent donc pas à convaincre le Meilleur Défenseur qu’il peut devenir Quelqu’un, et qu’il doit foncer.
 
Bad Trip pour un Bad Boy
Nous sommes au début des années 90, la fin des 80’s a été marqué par le Traumatisme des Bad Boys! "Watcha gonna do when Detroit is playin’ against you! ". Isiah Thomas, Joe Dumars, Dennis Rodman,… Des mecs au grand coeur mais foutent la trouille parce qu’ils se battent avec leurs tripes sur le terrain. C’était la belle époque, où seule la rage primait! La rage de vaincre. Détroit avait amené du Street en NBA et choppé deux titres de Champions au passage. Ah ça oui, Jordan morflait à l’époque!
Seulement le team explose après le second titre et Dennis se retrouve parachuté à San Antonio, c’est encore trop tôt dans sa tête pour un retour au Texas. Et il ne digère pas, pas plus que son capitaine (Robinson). Ce n’est plus "marche ou crève" mais "fais de ton mieux"…? San Antonio vit depuis longtemps sur une tradition de silence dans les matchs, anti trash-talk et un coach qui ne le comprend pas. "Les coach …? Détroit avait DIEU, San Antonio avait DEBILE! " Rodman, alors brun et le n°10 des Spurs pète un cable
 
Mon pick-up, une nuit, un fusil…
On ne devient pas un homme en s’arrangeant dans la glace, on ne devient même pas quelqu’un parce qu’on s’est battu contre un individu. On devient un Homme lorsqu’on est capable de se retrouver en face de soi-même. Le talent incontestable qu’il possédait pour les rebonds et qui lui valait ses plus faibles moyennes de rebonds à 13, ne suffit plus! Une nuit à San Antonio, Dennis en a marre de toute cette incompréhention qui rôde autour de lui, de sa gonzesse-Madonna qui le fait suivre par jalousie, de ses fans qui ne pige plus rien, du basket qui semble avoir paumé son goût salé pour la hargne, de son ex-femme qui lui vole la garde de sa fille… Dennis attrape un fusil et passe la nuit dans le parking du stadej, le doigt sur la détente et le canon sous le menton. Le lendemain matin, on le retrouvera dans la même position endormi, et encerclé par les équipes de négotiation de la police. Entre temps, The Worm a pris une décision: c’en est fini des conneries et de se contenir, il allait laisser rejaillir tout ce qu’il avait contenu en lui. Vivre selon ses propres désirs! VIVRE HEUREUX.
 
Dennis – 1 / Rodman – 0
Les Spurs envoient l’homme heureux pisser dans une éprouvette, mais celui-ci ne se came pas à la surprise de tous! Même pas de marijuana. Alors c’est au tour du psy qui décrète que Rodman n’a rien d’anormal au contraire. Le fossé de l’incompréhention se creuse! C’est bon à voir, horrible à comprendre. Mais qui a dit qu’il fallait comprendre la vie? Cheuveux rouges…Colliers partout…Oreilles trouées dans tous les sens! Fringues de plus en plus chelou…San Antonio craque! Jordan revient de sa (première) retraite, et apprend la nouvelle…
 
Sweet Home Chicago !
Il choisi le n°91, car se sont les deux premiers de 911 (le n° d’appel des urgences) et rentré sous les ordres du coach Jackson et du maître Jordan. Une ère diciplinaire dans une écurie à trois bagues qui ne semble pas convenir l’émancipation récente du poulain.
Mais il va trouver en Phil Jackson LE seul homme qui le comprendra parfaitement. Ses retards répétitifs à l’entraînement ne seront pas sanctionés. "Les entraînement commencent par des shoots, Dennis ne shoot pas en match. Que voulez-vous qu’il fasse? De plus, c’est un homme qui vit sans montre. Très simplement, sa maison est immense mais les seuls meubles doivent être le lit et ceux de la cuisine !", raconte Phil Jackson. L’harmonie naît donc à nouveau et Rodman connaît un nouvel âge d’or. Un 3 peat (trois titres d’affilés) durant lequel il aura exaspéré les patrons comme David Stern (NBA’s boss), émerveillé des fans comme moi, et charmé plusieurs bombasses (Cindy Crawford, Carmen Electra,…) avec son style naturel et bien dans sa peau.
Ce mec a foutu les boules à la nba de par son excentricité et sa nature brut. Personne ne savait où ça allait mené, et tout le monde se foutait que cet individu ait gagné sept fois le titre de meilleur rebondeur. Parti de rien, il a montré à tous qu’il avait un grand coeur, et que derrière ce caractère bizzare se cachait une Sincerité violente qui s’opposait à l’hypocrisie de la ligue et de ses joueurs…
 
"While you were pointing at my hair, I won 5 championchips."
Il titre son autobiographie "Plus méchant, tu meurs", éjecter de Chicago à l’éclatement du groupe en 1998 avec un sale goût de déjà vu. Il atterit à L.A. sous le n°73 où il fait des matchs de folie mais compense par des entraînements loupés et des sorties à Las Vegas. Le dandy habillé moulé, voire en femme, est échangé avec Dallas. Là, il critique les méthodes du gosse de riche de proprio qui ne "comprenait rien au jeux", et est éjecté du circuit NBA pour de bon. David Stern est enfin débarrassé de cet electron et nous, nous perdons un joueur VRAI comme il en existe peu.  
 
 
 

Tu nous manqueras, Reggie!

Publié: 19 mars 2006 dans Sport
Au regards de ses 20 pts de moyenne sur six dernières semaines, on se disait qu’il n’avait rien d’un futur retraité. Agé de 39 ans, il quittera la ligue avec son statut de 12ème meilleur marqueur de l’histoire. Il détient tirs à 3 pts avec 2500 réussites de shoots longue distance.
Si le basket made in USA tenait à lui rendre hommage, c’est aussi parce que ses duels avec Michael Jordan ou ses prises de bec avec Spike Lee resteront dans l’histoire.
C’est aussi la NBA n’a plus de shooteurs de sa trempe, capable de sortir d’ecran à une vitesse folle tout en dégainant à 3 pts.
C’est aussi parce que Reggie Miller fait partie d’une catégorie rare de joueurs qui préfèrent jouer 18 années dans le même club plutôt que de courir après les contrats à droite ou à gauche.
C’est aussi parce que Miller était une grande gueule et qu’il n’hésitait pas à s’échauffer avec un T-shirt de Superman.
C’est aussi parce que Miller fut hué à la draft de 1987.Tout l’Etat d’Indiana voulait que les Pacers choisissent Steeve Alford, superstar local. En 11ème placen, ils avaient opté pour R. Miller, un shooter en provenance de UCLA. Les premiers mois furent diffiles mais 18 années plus tard, il est devenu la légende du club, au même titre que Bird à Boston, qu’un Magic aux Lakers ou Jordan aux Bulls.
C’est pour toutes ces raisons que l’on tire un grand coup de chapeau à Monsieur Reggie Miller.
 

© Jamil Zaïani

un Sourire…

Publié: 19 mars 2006 dans Paroles de sagesses

Un sourire… un petit geste qui ne coûte rien
Une
petite lueur qui me fait tant de
bien
Une
petite étincelle qui éclaire mon chemin

Un sourire… une petite touche de douceur
Un
bel instant qui m’inonde de bonheur
Un
espoir sincère qui illumine mon cœur 

Un sourire… un cadeau si facile à offrir
Un
moment de joie, de tendresse et de plaisir
Une
généreuse offrande qui chasse mes soupirs

Un sourire… une étoile qui me pousse à avancer
Une
lumière qui m’aide à ne pas abandonner
Un
lien si précieux que l’on ne peut oublier

Un sourire… une jolie goutte de soleil
Un
don de soi sans nulle autre pareille
Un
bout de nous, un morceau de ciel

Un sourire… un petit geste qui ne coûte rien
Et
qui devrait être notre pain quotidien
Pour
lutter contre le mal et faire triompher le bien…

FEMME

Femme , rejouis-toi car tu es femme

la faiblesse est ta force

ta fragilité , une perle autour de ton cou

et la douceur est comme une couronne au-dessus de tes cheveux dorées

Parmi les vivants sous le ciel,tu sembles être la dernière

mais ta force silencieuse m’a toujours émerveillé

gazelle des amours

flamme de plaisir

perle désirée des hommes

A ton simple passage au coin de la rue

quel homme ne manquerait d’avoir les yeux grand ouvert rempli d’étoiles ,

quel homme n’aurait les levres couvert de salives du désire

et le coeur chantant un chant charmeur

Femme , je te le dis : rejouis-toi

Femme , je te le redis: rejouis-toi

éclates de joie , fait retentir le son de ta douceur

fait entendre le son de ton coeur

car tu es FEMME

chantes ta beauté

exaltes ta sensibilité

femme , rejouis-toi car tu es apprécié

un homme pourrait posseder tous les trésors du monde

mais sans toi , sans ta présence

il serait si vide , si érrant sans but , ni plaisir

 

Alors Femme Rejouis-toi car tu es femme, Reine des Humains

sans toi la terre serait sans humains car c’est par toi que l’homme est

et c’est aussi par ton lait que l’homme devient Homme

femme , femme , rejouis toi car tu es FEMME

 

 © 2006  Aristide  Joel